les incomprises
Héritières d’un passé
Un peu lourd à porter
On les tue par le feu
Et en appelle à Dieu
Responsables de maux
La religion les damne
Juste au nom de croyances
Et d’horribles sentences
On les appelait sorcières
Et toutes des meurtrières
Mais le temps a passé
Et le vent a tourné
Elles ont la peau si douce
Qu’on y glisserait le pouce
Mais soudain une secousse
Et c’est la mort aux trousses
Mais qui sont ces belles rousses ?
Qui, dans les roses, poussent
Au parfum mystérieux
Mais tellement merveilleux